« Car la fin, nous l’accueillerons, vous et moi. Et nos efforts porteront leurs fruits. Enfin, le droit d’être le dernier. »
« Ce brassard est à vous. Il vous servira le jour où vous mettrez feu à l’étincelle projetant l’Ombre de la Terre. »
– Empereur Calus
J’aurai besoin d’une Ombre de votre tribu de Gardiens pour transcrire les runes qui ornent l’intérieur de la Couronne du malheur. Et afin de les changer en quelque chose de plus bénéfique pour l’Empereur Calus. Cela permettra également de perturber les plans de la sorcière .
Oh.
Elle pense que je suis incapable de l’entendre.
Eh bien, je ne peux pas entendre ses paroles. [Ah.]1
Mais ses intentions, ses sentiments, je les connais. Elle est ici.
Elle cherche à me nuire par le biais de la Couronne. Nous la porterons dans tous les cas .
Dès que nous aurons pu la réparer. Ne vous inquiétez pas de ce qui est arrivé à Gahlran, nous avons retenu la leçon. Nous trouverons un hôte plus approprié pour la Couronne.
Oh, pas moi. Jamais. Votre Empereur possède suffisamment de couronnes pour les cent mille générations à venir.
L’un de vos Titans serait sans doute suffisamment robuste…
Mais la sorcière. La sorcière est ennuyeuse. Je lui préférais son frère. Oryx aurait été plus simple à tenir en échec. La force brute des Corrompus aurait été aisément conquise en se gorgeant de puissance. Ces derniers auraient rejoint mon empire avec plaisir, car leur désir le plus cher est la servilité.
Hélas… Un jour ou l’autre, la sorcière et moi nous percuterons. Que ferez-vous à ce moment-là ? Vous avez déjà fait un choix, entre l’Avant-garde qui vous a élevé et le manant, cette coquille d’homme vide, qui vous a tenté à l’aide d’un pouvoir qu’il comprend à peine.
Si vous tenez vraiment à ce système, aux gens de votre Cité, vous m’aiderez, Arcaniste.
Arborez ce brassard et proclamez votre allégeance.
Il marque la promesse que vous vous efforcerez de purifier la Couronne du malheur d’une manière propre à un Gardien de votre tribu.
Dès que nous aurons découvert comment faire, aidez-moi.
Aidez-moi à me gorger de puissance.
– Empereur Calus