Poigne des Ministres de l’Empereur

Légende 4 sur 14 de la série Les lettres de Calus à Ghaul
 

Il n’y a rien que je ne puisse pardonner.

Je pense que je suis prêt finalement à te pardonner. Cela ne sert à rien de garder en soi cette haine indéfiniment. Quand je pense à ce que nous étions tous les deux, la fin était écrite d’avance. 

Comment te blâmer pour cette ambition empoisonnée que le Consul t’a soufflée à l’oreille ? Tu étais simplement son instrument. Au bout du compte, qu’aurait-il pu arriver de mieux ? Ta trahison fut le premier chapitre de l’histoire de mon ascension.

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Références