Oryx, roi sans égal dont les cornes percent l’horizon cosmique, toi qui détiens le sens de la soupe primordiale ! Nous te conjurons, nous, ta Ruche.
Entends nos strangulations, nous qui t’appelons O!-Ryx, cryptonyme d’Oryx qui se refuse en refusant la division. Oryx, dont la ligne d’univers ne peut être cartographiée par aucune topologie simpliste. Oryx, qui se décale vers le bleu lorsque tout le reste s’estompe. Oryx, dont les armes divines peuvent trancher le lien d’affection entre le maître et son animal de compagnie. Oryx, à qui revient l’origine du refus de mourir pendant un milliard d’années !
Nous, ta progéniture, qui sommes causés par toi à l’instar de toutes les choses dans ton cône de lumière causées par ta volonté, nous implorons ton pardon !
Avouons nos crimes. N’offensons pas le roi Oryx par le mépris de la rhétorique. Que nos actions fassent connaître nos transgressions. Que nos crimes soient démontrés par leur résultat, tandis que la blessure rappelle la forme de l’arme.
Aiat !